Il reste des lieux publics où vous pouvez jouer au flipper ! Certes, leur nombre a fortement chuté depuis les années 90. Mais une nouvelle dynamique voit le jour, et de nouveaux endroits ouvrent leurs portes en Europe. Aux Etats-Unis, où l’exploitation de flipper a conservé une certaine vigueur, les barcades fleurissent, en plus des salles de jeux rétro.

Par ailleurs, les salons et événements sont l’occasion de découvrir des dizaines de flippers en un seul endroit, le temps d’un week-end. Sans prétention d’être exhaustif, voici une sélection de lieux visités par la rédaction de Pinball Mag.

Où jouer au flipper en France ou en Belgique ? Les lieux ne sont pas très nombreux mais il y en a probablement un à moins de 100 kilomètres de chez vous. Cette liste n’est pas exhaustive et n’a pas de prétention à l’être, elle sera complétée au gré de nos rencontres et de nos voyages.

Si vous ne trouvez pas votre bonheur sur cette page, téléchargez l’application Pin My Balls sur Google ou Android. Ce logiciel collaboratif recense les flippers partout dans le monde, avec les modèles de chaque lieu.

Les USA, et plus particulièrement Chicago, sont la Mecque du flipper. La concentration de salles d’arcade et de barcades n’a pas d’équivalent dans le monde. Néanmoins, dans tous les pays, on trouvera des lieux où jouer. La rédaction vous en parle dès qu’elle passe quelque part ! Le barcade est un concept assez simple mais qui connaît un certain succès aux Etats-Unis : un lieu façon pub avec de la bonne nourriture souvent grasse (burger, frites, fish & chips) et une belle collection de flippers et de bornes d’arcade rétro.

Au fil des ans, nous avons couvert des salons et des événements un peu partout en France. Voici nos reportages en vidéo pour découvrir l’ambiance. Il ne vous restera ensuite plus qu’à réserver vos places pour la prochaine édition.

Les salons français sont généralement organisés par des associations qui souhaitent promouvoir une pratique du flipper conviviale et intergénérationnelle. Les droits d’entrée sont souvent très raisonnables, le but n’étant pas de faire de l’argent. D’ailleurs les collectionneurs qui prêtent leurs machines le font bénévolement.